MIRACLE! PLUS D'ANTENNES SUR LE CHATEAU D'EAU
Le chateau d'eau n'appartenant plus à la mairie mais à reseau31, le contrat a été rompu.
Et les antennes enlevées!
On note au passage que la réception 4G SANS CES ANTENNES est toujours optimale preuve qu'on pouvait s'en passer et que les antennes pouvaient être mises ailleurs que près d'écoles et d'un lotissement.
On retiendra au final qu'il n'y a plus d'antennes, ce qui est le principal.
4 janvier 2019
13 septembre 2017
Villeneuve de la Raho: La mairie a fait enlever les antennes: C'est donc possible!
Antennes-relais du château d’eau de Villeneuve-de-la-Raho :bientôt la fin du cauchemar
Téléphonie. SFR termine le démontage de ses antennes. Bouygues déménage la semaine prochaine.
Démontage des relais de SFR, acte II. Après avoir retiré, les 6 et 7
juin derniers, les antennes qu’il avait implantées sur le château d’eau,
l’opérateur de téléphonie mobile a confié à une société spécialisée le
soin d’évacuer les nappes de câbles installées à l’intérieur de
l’édifice.
L’intervention a débuté ce lundi. « La communauté urbaine, qui gère
le château, a exigé qu’il y ait un protocole de sécurité pour le
démontage de ces câbles, qui surplombent l’eau, explique Maryse
Batlle, la présidente de l’association Un mât pour les ondes, qui milite
pour le déménagement des antennes du château d’eau depuis neuf ans.
Pour sortir les câbles, il faut les découper. Il était nécessaire de
mettre en place une protection afin d’éviter toute pollution. » Le référent juridique de la communauté urbaine Marc Surroca confirme : «
Nous avons décidé d’établir un protocole avec l’opérateur, les
sous-traitants et l’Agence régionale de santé (ARS) pour protéger la
ressource en eau durant le démontage. Un système de protection du
réservoir a été mis en place. »
5G : Les nouveaux dangers
Scientifiques et médecins alertent sur de potentiels graves effets sanitaires de la 5G
Plus
de 170 scientifiques et médecins de 37 pays demandent un moratoire sur
le déploiement de la 5G – cinquième génération de téléphonie mobile –
jusqu'à ce que des études d'impact sanitaires et environnementales
sérieuses et indépendantes aient été réalisées préalablement à toute
mise sur le marché.
La
5G augmentera considérablement l'exposition aux champs
électromagnétiques de radiofréquences (RF-CEM) et s'ajoutera au
brouillard électromagnétique déjà produit par la 2G, 3G, 4G, Wi-Fi,
etc., exposition dont il a été prouvé qu'elle est nocive pour les
humains et pour l'environnement.
Le
déploiement de la 5G conduirait à une augmentation générale et massive
de l'exposition aux ondes du sans-fil alors que les dangers de ces
technologies sont établis.
La
technologie de la 5G est efficace sur des petites distances seulement.
Elle se transmet mal à travers les solides. Il faudra beaucoup de
nouvelles antennes-relais, et la nouvelle architecture du réseau exigera
une nouvelle antenne toutes les 10 ou 12 maisons en zone urbaine créant
de fait une exposition massive à laquelle nul ne pourra se soustraire.
Le
déploiement de nouveaux transmetteurs pour la 5G (on les trouvera
également dans les foyers, les boutiques, les hôpitaux) devrait générer
selon les estimations entre 10 et 20 milliards de connexions
(réfrigérateurs, machines à laver, caméras de surveillance, voitures et
bus sans conducteur) et constituera l'Internet des objets. Tout cela
augmentera substantiellement l'exposition permanente de l'intégralité de
la population européenne aux champs électromagnétiques des technologies
du sans-fil.
Les dangers de l'exposition aux champs électromagnétiques de radiofréquences (RF-CEM) sont déjà démontrés
Plus
de 230 scientifiques de plus de 40 pays ont exprimé leur
« préoccupation sérieuse » concernant l'accroissement permanent et
universel de l'exposition aux champs électromagnétiques par les
technologies du sans-fil avant l'ajout du déploiement de la 5G. Ils font
référence aux « nombreuses études scientifiques récentes qui ont
démontré que ces champs électromagnétiques affectent les organismes
vivants à des niveaux d'exposition bien en-dessous des valeurs limites
internationales ». Ces effets accroissent le risque de cancer, le stress
cellulaire, augmentent l'apparition de radicaux libres nocifs, de
dommages génétiques, de changements structurels et fonctionnels du
système reproductif, de déficits d'apprentissage et de mémoire, de
désordres neurologiques et d'impacts négatifs sur le bien-être. Ces
dommages n'affectent pas seulement l'homme mais aussi la faune et la
flore selon un nombre croissant d'études.
Pour
Etienne Cendrier, porte-parole : "Robin des Toits soutient cet appel de
scientifiques et de médecins de grand renom pour que la 5G ne soit pas
mise sur le marché : il serait irresponsable et criminel de traiter la
population en cobaye alors que les radiofréquences sont peut-être
cancérigènes d'après l'OMS ..."
Contact Presse :
Etienne CENDRIER etienne@robindestoits.org
Porte-Parole national
16 février 2017
Le niveau d'emission des portables est-il comme l'affirment les fabricants?
Dans la hotte des achats de Noël, les téléphones portables figurent en
bonne place. Sans que les consommateurs soient clairement avertis de
leur exposition aux radiofréquences de ces appareils et à leurs dangers
potentiels. Car les données fournies par les fabricants sont fondées sur
des tests effectués en laboratoire, selon des procédures très
différentes des conditions réelles d’utilisation des mobiles. C’est ce
que dénoncent aujourd’hui des militants « anti-ondes », qui y voient «
un scandale industriel et sanitaire » de même nature que le « dieselgate
».
Un « phonegate » donc ? Dans le cas présent, il ne s’agit pas d’une tricherie au sens strict, mais plutôt d’un brouillage des informations données aux usagers, à la faveur d’une réglementation laxiste. Les enjeux sanitaires n’en sont pas moins importants. L’Organisation mondiale de la santé (OMS) a classé les radiofréquences comme « peut-être cancérogènes pour l’homme ». Et l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Anses) a estimé, dans un rapport de juillet 2016, que ces ondes ont « des effets possibles sur les fonctions cognitives et le bien-être » des plus jeunes.
Le dossier est technique, ce qui contribue à son opacité. L’exposition aux radiofréquences émises et reçues par un téléphone portable est mesurée par le débit d’absorption spécifique (DAS), exprimé en watts par kilogramme (W/kg). Il s’agit de la quantité d’énergie absorbée, sous forme de chaleur, par les tissus biologiques. En Europe, une réglementation de 1999 a fixé la valeur à ne pas dépasser à 2 W/kg pour l’exposition de la tête et du tronc, et à 4 W/kg pour les membres.
Les fabricants respectent bien ces normes… du moins quand l’appareil n’est pas placé au contact du corps. Pour faire certifier leurs modèles, ils font en effet procéder à des essais en laboratoire. L’exposition au niveau de la tête est évaluée, non sur des cobayes humains, mais sur des mannequins remplis d’eau et de sucres. Pour le corps, on se contente de cuves d’eau.
Or, si, pour les tests au niveau de la tête, la réglementation impose que la mesure soit faite téléphone collé à l’oreille, pour ceux au niveau du reste du corps, elle laisse les industriels libres de fixer la distance à laquelle est placé l’appareil. Et de la choisir en sorte, précisément, que la limite d’exposition ne soit pas dépassée.
Des notices d’utilisation floues
A l’exception des modèles les plus récents, pour lesquels la distance lors des tests a été raccourcie, celle-ci était jusqu’ici d’environ 15 mm, avec un maximum de 25 mm. Ces quelques millimètres font toute la différence avec la vie réelle, dans laquelle le portable est couramment porté dans la poche de chemise, de veste ou de pantalon, au contact presque direct avec la peau. Rappelons que même quand l’utilisateur ne téléphone pas, son mobile, lorsqu’il est en veille, reste connecté et source de radiofréquences.
L’Agence nationale des fréquences (ANFR), l’établissement public chargé du contrôle de ce secteur, a fait procéder à ses propres évaluations, dans des laboratoires européens, sur un échantillon de 95 téléphones mobiles choisis dans différents points de vente entre début 2012 et fin 2014, et 71 autres sélectionnés au cours de l’année 2015. A une distance du corps de 1,5 cm, aucun ne dépassait la limite de 2 W/kg.
Mais elle a fait réaliser de nouvelles mesures avec, cette fois, l’appareil au contact du corps. Les résultats sont très différents. Ils sont rapportés dans l’avis de juillet 2016 de l’Anses. En 2015, peut-on y lire, « 89 % des téléphones mesurés au contact par l’ANFR présentaient un DAS supérieur à 2 W/kg et 25 % un DAS supérieur à 4 W/kg ». Quelques-uns atteignaient même 7 W/kg. Ces dépassements ne concernent pas l’exposition de la tête, mais du reste du corps.
Les industriels font valoir que les notices d’utilisation de leurs produits, de même que les informations accessibles en ligne ou sur le smartphone lui-même, mentionnent bien que les tests ont été menés à une certaine distance du corps et que celle-ci doit être respectée pour ne pas dépasser les niveaux d’exposition certifiés. Encore faut-il scruter à la loupe cette documentation pour le savoir. Au demeurant, l’ANFR a constaté que « la notice d’utilisation de 25 % des téléphones contrôlés présentant un DAS au contact du corps supérieur à 2 W/kg n’indiquait pas de distance minimale d’utilisation ».
« Pas de portable pour les enfants »
Les résultats détaillés de cette contre-expertise n’ont pas été divulgués. Ex-coordinateur national de l’association Priartem (Pour rassembler, informer et agir sur les risques liés aux technologies électromagnétiques), Marc Arazi, aujourd’hui « expert indépendant », a vainement tenté de les obtenir. Il a saisi la Commission d’accès aux documents administratifs (CADA), qui s’est déclarée « favorable » à la communication des données de l’ANFR, avant le 29 décembre.
Interrogé par Le Monde, Gilles Brégant, directeur général de l’établissement de contrôle, indique pourtant qu’il ne les rendra pas publiques. Motif : « La loi interdit leur communication à des tiers, ces données ayant été recueillies dans le cadre de procédures pouvant donner lieu à des sanctions. » Sollicités directement, Apple et Samsung n’ont pas souhaité faire de commentaire.
L’ANFR n’est pas restée pour autant sans réaction. Elle a, indique son directeur, alerté les autorités françaises, qui se sont tournées vers la Commission européenne. Celle-ci a pris, en avril, une décision disposant que les tests de certification doivent être réalisés à une distance du tronc « ne dépassant pas quelques millimètres ». Cette formulation laisse encore une marge de manœuvre aux industriels, mais, assure M. Brégant, « tous les appareils commercialisés depuis avril 2016 sont testés à 5 mm du corps ». Cette mesure tardive ne règle rien, toutefois, pour tous les mobiles déjà en service. En France, 25 millions de téléphones portables sont mis chaque année sur le marché.
Sans doute la question du danger des radiofréquences reste-t-elle débattue. Mais pour Olivier Merckel, chargé des nouvelles technologies à l’Anses, le surcroît d’exposition aux ondes, en usage courant, par rapport aux niveaux affichés par les industriels, « doit faire l’objet d’une attention particulière pour les enfants et les personnes porteuses de dispositifs médicaux, comme des pacemakers [stimulateurs cardiaques], dont le fonctionnement peut être perturbé par des champs électriques, même faibles ».
Porte-parole de l’association Robin des toits, Etienne Cendrier souligne que « le cerveau humain n’est pas fait d’eau et de sucre comme les mannequins des tests ». Il ajoute que « les normes d’exposition, outre qu’elles sont très hautes, ne prennent en compte que les effets thermiques, à l’exclusion d’autres risques tels que de possibles cancers ». La présidente de Priartem, Janine Le Calvez, en tire pour sa part une leçon radicale : « Pas de portable pour les enfants ! »
Un « phonegate » donc ? Dans le cas présent, il ne s’agit pas d’une tricherie au sens strict, mais plutôt d’un brouillage des informations données aux usagers, à la faveur d’une réglementation laxiste. Les enjeux sanitaires n’en sont pas moins importants. L’Organisation mondiale de la santé (OMS) a classé les radiofréquences comme « peut-être cancérogènes pour l’homme ». Et l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Anses) a estimé, dans un rapport de juillet 2016, que ces ondes ont « des effets possibles sur les fonctions cognitives et le bien-être » des plus jeunes.
Le dossier est technique, ce qui contribue à son opacité. L’exposition aux radiofréquences émises et reçues par un téléphone portable est mesurée par le débit d’absorption spécifique (DAS), exprimé en watts par kilogramme (W/kg). Il s’agit de la quantité d’énergie absorbée, sous forme de chaleur, par les tissus biologiques. En Europe, une réglementation de 1999 a fixé la valeur à ne pas dépasser à 2 W/kg pour l’exposition de la tête et du tronc, et à 4 W/kg pour les membres.
Les fabricants respectent bien ces normes… du moins quand l’appareil n’est pas placé au contact du corps. Pour faire certifier leurs modèles, ils font en effet procéder à des essais en laboratoire. L’exposition au niveau de la tête est évaluée, non sur des cobayes humains, mais sur des mannequins remplis d’eau et de sucres. Pour le corps, on se contente de cuves d’eau.
Or, si, pour les tests au niveau de la tête, la réglementation impose que la mesure soit faite téléphone collé à l’oreille, pour ceux au niveau du reste du corps, elle laisse les industriels libres de fixer la distance à laquelle est placé l’appareil. Et de la choisir en sorte, précisément, que la limite d’exposition ne soit pas dépassée.
Des notices d’utilisation floues
A l’exception des modèles les plus récents, pour lesquels la distance lors des tests a été raccourcie, celle-ci était jusqu’ici d’environ 15 mm, avec un maximum de 25 mm. Ces quelques millimètres font toute la différence avec la vie réelle, dans laquelle le portable est couramment porté dans la poche de chemise, de veste ou de pantalon, au contact presque direct avec la peau. Rappelons que même quand l’utilisateur ne téléphone pas, son mobile, lorsqu’il est en veille, reste connecté et source de radiofréquences.
L’Agence nationale des fréquences (ANFR), l’établissement public chargé du contrôle de ce secteur, a fait procéder à ses propres évaluations, dans des laboratoires européens, sur un échantillon de 95 téléphones mobiles choisis dans différents points de vente entre début 2012 et fin 2014, et 71 autres sélectionnés au cours de l’année 2015. A une distance du corps de 1,5 cm, aucun ne dépassait la limite de 2 W/kg.
Mais elle a fait réaliser de nouvelles mesures avec, cette fois, l’appareil au contact du corps. Les résultats sont très différents. Ils sont rapportés dans l’avis de juillet 2016 de l’Anses. En 2015, peut-on y lire, « 89 % des téléphones mesurés au contact par l’ANFR présentaient un DAS supérieur à 2 W/kg et 25 % un DAS supérieur à 4 W/kg ». Quelques-uns atteignaient même 7 W/kg. Ces dépassements ne concernent pas l’exposition de la tête, mais du reste du corps.
Les industriels font valoir que les notices d’utilisation de leurs produits, de même que les informations accessibles en ligne ou sur le smartphone lui-même, mentionnent bien que les tests ont été menés à une certaine distance du corps et que celle-ci doit être respectée pour ne pas dépasser les niveaux d’exposition certifiés. Encore faut-il scruter à la loupe cette documentation pour le savoir. Au demeurant, l’ANFR a constaté que « la notice d’utilisation de 25 % des téléphones contrôlés présentant un DAS au contact du corps supérieur à 2 W/kg n’indiquait pas de distance minimale d’utilisation ».
« Pas de portable pour les enfants »
Les résultats détaillés de cette contre-expertise n’ont pas été divulgués. Ex-coordinateur national de l’association Priartem (Pour rassembler, informer et agir sur les risques liés aux technologies électromagnétiques), Marc Arazi, aujourd’hui « expert indépendant », a vainement tenté de les obtenir. Il a saisi la Commission d’accès aux documents administratifs (CADA), qui s’est déclarée « favorable » à la communication des données de l’ANFR, avant le 29 décembre.
Interrogé par Le Monde, Gilles Brégant, directeur général de l’établissement de contrôle, indique pourtant qu’il ne les rendra pas publiques. Motif : « La loi interdit leur communication à des tiers, ces données ayant été recueillies dans le cadre de procédures pouvant donner lieu à des sanctions. » Sollicités directement, Apple et Samsung n’ont pas souhaité faire de commentaire.
L’ANFR n’est pas restée pour autant sans réaction. Elle a, indique son directeur, alerté les autorités françaises, qui se sont tournées vers la Commission européenne. Celle-ci a pris, en avril, une décision disposant que les tests de certification doivent être réalisés à une distance du tronc « ne dépassant pas quelques millimètres ». Cette formulation laisse encore une marge de manœuvre aux industriels, mais, assure M. Brégant, « tous les appareils commercialisés depuis avril 2016 sont testés à 5 mm du corps ». Cette mesure tardive ne règle rien, toutefois, pour tous les mobiles déjà en service. En France, 25 millions de téléphones portables sont mis chaque année sur le marché.
Sans doute la question du danger des radiofréquences reste-t-elle débattue. Mais pour Olivier Merckel, chargé des nouvelles technologies à l’Anses, le surcroît d’exposition aux ondes, en usage courant, par rapport aux niveaux affichés par les industriels, « doit faire l’objet d’une attention particulière pour les enfants et les personnes porteuses de dispositifs médicaux, comme des pacemakers [stimulateurs cardiaques], dont le fonctionnement peut être perturbé par des champs électriques, même faibles ».
Porte-parole de l’association Robin des toits, Etienne Cendrier souligne que « le cerveau humain n’est pas fait d’eau et de sucre comme les mannequins des tests ». Il ajoute que « les normes d’exposition, outre qu’elles sont très hautes, ne prennent en compte que les effets thermiques, à l’exclusion d’autres risques tels que de possibles cancers ». La présidente de Priartem, Janine Le Calvez, en tire pour sa part une leçon radicale : « Pas de portable pour les enfants ! »
9 novembre 2016
des conflits d’intérêts
Ondes électromagnétiques : des conflits d’intérêts et des pratiques condamnables au Comité Economique et Social Européen (CESE)
De
nombreux mois après une plainte déposée par des organisations
européennes concernées et regroupées dans une Coordination Européenne
des Organisations pour une Réglementation de l'Exposition aux Champs
Electromagnétiques, la Médiatrice européenne reconnaît pour la première
fois un conflit d'intérêts mettant en cause des entreprises
d'électricité et de télécommunications et une institution consultative
européenne pour éviter la prévention et la reconnaissance intégrale de
l'électrohypersensibilité (EHS).
Un
avis concernant l’EHS et visant à diminuer les seuils d’exposition aux
ondes électromagnétiques devait être voté après longue discussion et
accord sur le contenu. Lors de la session plénière du CESE du 21 Janvier
2015, il a été approuvé de justesse un amendement global (“contravis”),
de type négationniste, présenté irrégulièrement (un jour seulement
avant le vote) par M. Richard Adams qui, de plus, a caché ses conflits
d’intérêt : partie liée à un conglomérat d'industries de l'électricité
et de la téléphonie (ex. : Vodafone), et conseiller de l'une des cinq
entreprises électriques et gazières les plus importantes en Europe qui
promeut également les réseaux et les compteurs intelligents (faisant
appel aux radiofréquences / micro-ondes pour la transmission de
données). Cette irrégularité vient d’être reconnue par la Médiatrice
Européenne.
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